12 mai 2022
12 mai 2022
PARIS — Avec Andrea Horwath et le NPD, les gens pourront aller à des rendez-vous de counseling ou de thérapie sans frais, épargnant ainsi environ 200 $ par visite – cela, dans un temps où de plus en plus de gens ont besoin, sous une forme ou sous une autre, d’appuis en santé mentale.
« Les soins de santé mentale sont des soins de santé à part entière, et vous ne devriez pas avoir à payer 200 $ chaque fois que vous en avez besoin », a dit Andrea Horwath. « On va régler ça. Grâce à mon plan, vous pourrez voir un spécialiste en counseling ou en théraphie quand vous en avez besoin, sans frais. Ce sera comme aller chez votre médecin de famille.
« En sortant de la pandémie, j’entends beaucoup de parents dire qu’ils voient un changement de personnalité chez leurs enfants. Et l’isolement, le deuil, le chagrin, ou les pressions financières ont affecté bien d’entre nous. Nous devrions tous avoir accès à des appuis en santé mentale – quelles que soient vos possibilités financières. »
Grâce au plan d’Andrea Horwath préconisant des Soins de santé mentale universels, le counseling et la thérapie seront couverts par une carte Santé, pas par une carte de crédit, et les services en santé mentale financés publiquement seront élargis et rendus plus accessibles. Le plan exhaustif du NPD comprend un ensemble d’investissements et de changements visant à fournir au secteur de la santé mentale et des dépendances plus de personnel, plus de ressources et plus de coordination, y compris par la création de Santé mentale Ontario.
Pour Mya MacLeod, élève de neuvième année, cela ferait toute une différence. « Nous voulons avoir accès à des adultes de confiance à qui pouvoir parler. Ça pourra nous aider à mieux gérer et nous fournir des stratégies d’épanouissement. Parfois on a besoin d’aide tout de suite. Entendre aujourd’hui l’engagement fort d’Andrea en faveur de notre bien-être mental me donne de l’espoir. »
Le plan du NPD comprend les éléments suivants :
Au moins un·e Ontarien·ne sur quatre a cherché à obtenir de l’aide en matière de soins de santé mentale ou de dépendances pendant la pandémie. Le counseling est le type de service requis le plus fréquemment. Les psychothérapeutes, les psychologues, les infirmières et les travailleurs sociaux peuvent offrir de la thérapie, mais à moins qu’ils ne fassent partie d’une équipe de santé familale, leurs services thérapeutiques ne sont pas couverts par l’Assurance-santé de l’Ontario.
CITATIONS
Brandon Westbrook, Brantford
« Mon parcours en santé mentale a été une bataille longue et ardue. Des batailles constantes pas seulement pour obtenir des appuis, mais même pour sentir que je vaux la peine d’en recevoir. Même une chose aussi simple qu’une brève déclaration écrite semble parfois une tâche herculéenne. La manière actuelle dont nos services de santé mentale sont structurés fait en sorte qu’il soit presque impossible pour les Ontariens ordinaires d’obtenir l’appui dont nous avons cruellement besoin. Les gens ne devraient pas avoir à se trouver sur le fil du rasoir au bord de l’abîme, rien que pour avoir accès à ces soins. C’est pourquoi j’appuie le plan d’Andrea Horwath et du NPD d’incorporer les services de santé mentale à l’Assurance-santé de l’Ontario, et de faciliter l’obtention desdits services. »
Mya MacLeod, Paris, 15 ans, 9e année
« C’était difficile d’être élève pendant la pandémie. On était déconnecté pendant l’apprentissage en ligne et je n’ai pas reçu beaucoup d’aide supplémentaire quand nous sommes retournés en classe. La santé mentale est l’un de nos plus grands problèmes.
« Ça ne devrait pas être aussi difficile. Les coupures de Doug Ford font mal. Ses systèmes brisés ne fonctionnent pas pour moi, et ils ne fonctionnent pas pour mes amis.
« Voilà pourquoi j’étais enthousiasmée d’entendre qu’Andrea Horwath s’en venait à Paris aujourd’hui pour prendre des engagements en matière de santé mentale des enfants. Nous voulons avoir accès à des adultes de confiance à qui pouvoir parler. Ça pourra nous aider à mieux gérer et nous fournir des stratégies d’épanouissement. Parfois on a besoin d’aide tout de suite. Entendre aujourd’hui l’engagement fort d’Andrea en faveur de notre bien-être mental me donne de l’espoir. »
Inge MacLeod, Paris, enseignante d’école élémentaire et mère de Mya
« La santé mentale est directement liée à notre capacité de profiter de la vie et de gérer les défis auxquels nous faisons face. En travaillant dans l’éducation publique, j’ai vu les problèmes de santé mentale surgir très tôt, et s’ils ne sont pas traités, un effet boule de neige se développera avec le temps. Cela mène à des difficultés plus tard dans la vie.
« Lorsque les gens de l’Ontairo cherchent de l’aide en santé mentale, ils doivent savoir qu’ils pourront avoir accès à des appuis adéquats sans délai.
« Bien des familles, surtout des ménages à faible revenu, font face à des obstacles à l’obtention de services de santé mentale traditionnels en milieu clinique. Ces obstacles comprennent souvent le coût et les questions de transport.
« À l’heure qu’il est, en Ontario, nous faisons face à de longs temps d’attente, à des coûts élevés que les gens doivent débourser eux-mêmes, et à des pénuries en matière de professionnels de la santé. Les conservateurs de Doug Ford ont fait des coupures massives aux dépenses prévues en santé mentale et ils ont permis que la liste d’attente pour des services en santé mentale pour les enfants et les jeunes devienne deux fois plus longue.
« L’engagement d’Andrea Horwath et du NPD de réduire la liste d’attente pour les enfants ayant besoin de soins de santé mentale veut dire que les traitements et les services spécialisés seront plus facilement disponibles. À l’heure qu’il est, les élèves qui traversent une crise sont envoyés aux urgences. Un service d’appui en cas de crise disponible 24 heures sur 24 permettrait de s’assurer que les enfants et les jeunes qui traversent une crise disposent d’une alternative adéquate.
« Les soins de santé mentale universels et financés publiquement augmenteraient l’accès à des services de counseling et de thérapie à travers la province, en amenant les services de thérapie dans le giron de l’Assurance-santé de l’Ontario. Il nous faut des organismes qui prennent l’initiative d’identifier et de rendre publics les besoins en santé mentale, de développer une liste d’attente exhaustive pour des services, et de s’assurer que les programmes en santé mentale sont déployés de manière équitable à travers la province. »
Paul Dinola, Brantford, père d’Aaron Dinola
« Le 6 novembre 2021, mon fils est décédé. L’initiative du NPD en matière de santé mentale et de dépendances contribuera grandement à s’assurer qu’une telle chose ne se reproduira pas, car beaucoup de gens tombent entre les mailles du filet.
« C’est mon souhait qu’une telle chose n’arrive à personne, car les familles souffrent. Ce sont nos enfants qui souffriront, en fin de compte, si nous ne réglons pas ce problème.
« Comme je l’ai dit avant, le changement viendra, parce qu’ensemble nous sommes plus forts. J’espère que grâce à l’aide du NPD un nouveau débat commencera, pour régler notre crise de santé mentale et de dépendances. »
Fiche d’information
Soins de santé mentale universels
Andrea Horwath et le NPD commenceront en élargissant l’accès à des services de counseling et de thérapie à travers la province :
Réparer le système de soins de santé mentale
Réduire à 30 jours le temps d’attente pour les soins de santé mentale des enfants
Les logements avec services de soutien
Renforcer le secteur
Améliorer les interventions en cas de crise
Les coûts